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Histoire des sciences

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Photo POISSON, Siméon Denis || ACADÉMIE ROYALE DES SCIENCES. 

Contient en particulier les deux articles de POISSON.
- Mémoire sur la théorie du magnétisme en mouvement (Ce mémoire, lu à l’Académie des Sciences en 1826, fait suite aux importants mémoires sur l’électricité de 1812 et 1813 et au « Mémoire sur la théorie du magnétisme » de 1824, paru en 1826 dans les Mémoires de l’Académie des Sciences. Il eut une grande influence, en particulier en Angleterre et en Allemagne. Un extrait en a été publié en 1827 dans le Zeitschrift für Physik. Il contient l’équation que satisfait le potentiel électrostatique tant hors d’un corps chargé, ou dans ce corps, qu’à sa surface.
- Mémoire sur le calcul numérique des intégrales définies. (Ce mémoire traite du calcul par approximation des intégrales et des sommes de séries convergentes, dont les résultats seront appliqués dans sa 'Nouvelle théorie de l’action capillaire'. publié en 1831).
CAUCHY. Mémoire sur les développement des fonctions en séries périodiques.


Il manque à ce volume des Mémoires de l'Académie Royale des Sciences les article de Legendre en Ampère:

Table :
LEGENDRE. Recherches sur quelques objets d'analyse indéterminée et particulièrement sur le théorème de Fermat. (p. 1-60), article manquant à notre exemplaire
LAPLACE. Mémoires sur le développement de l'anomalie vrai et du rayon vecteur elliptique, en série ordonnées suivant les puissances de l'excentricité.
RAMO. Mémoire sur l'état de la végétation au sommet du Pic du Midi de Bagnères.
AMPÈRE. Mémoire sur la théorie mathématique des phénomènes électro-dynamiques, uniquement déduite de l'expérience, dans lequel se trouvent réunis les Mémoires que M. ampère à communiqués à l'Académie royale de sciences, dans les scéances des 4 et 26 décembre 1820, 10 juin 1822, 22 décembre 1823, 12 septembre et 23 novembre 1825. (p. 175 à 388), article manquant à notre exemplaire
NAVIER. Mémoire sur lkes lois du mouvement des fluides
POISSON :
- Mémoire sur la théorie du magnétisme en mouvement (Ce mémoire, lu à l’Académie des Sciences en 1826, fait suite aux importants mémoires sur l’électricité de 1812 et 1813 et au « Mémoire sur la théorie du magnétisme » de 1824, paru en 1826 dans les Mémoires de l’Académie des Sciences. Il eut une grande influence, en particulier en Angleterre et en Allemagne. Un extrait en a été publié en 1827 dans le Zeitschrift für Physik. Il contient l’équation que satisfait le potentiel électrostatique tant hors d’un corps chargé, ou dans ce corps, qu’à sa surface.
- Mémoire sur le calcul numérique des intégrales définies. (Ce mémoire traite du calcul par approximation des intégrales et des sommes de séries convergentes, dont les résultats seront appliqués dans sa 'Nouvelle théorie de l’action capillaire'. publié en 1831).
CAUCHY. Mémoire sur les développement des fonctions en séries périodiques.

Ainsi que la partie portant sur l'histoire de l'académie par Fourrier pour la partie mathématique et la notice sur William Herschel et par Cuvier pour la Physique.

Photo CAUCHY, Augustin Louis || ACADÉMIE ROYALE DES SCIENCES. 
Photo POISSON, Siméon Denis || ACADÉMIE ROYALE DES SCIENCES. 

Première parution de l'article majeur de Poisson sur les ondes, dans lequel il dérive l'intégrale de Fourier à peu près de la même manière que Cauchy lorsqu'il a posé les équations générales de l'hydrodynamique.
"Ce mémoire, lu à l’Académie des Sciences en octobre et décembre 1815, est une réponse au « problème des ondes à la surface d’un liquide de profondeur indéfinie » qui avait été proposé en 1813 comme question pour le prix de mathématiques de l’Institut en 1816 par une commission dont Poisson était membre.
Le prix fut attribué à Cauchy par une commission qui comprenait Poisson, pour le mémoire qu’il avait lu à l’Académie des Sciences en juillet 1815, qui fut publié en 1827.
Les deux savants avaient fourni des solutions semblables, utilisant transformations de Fourier et développements en séries.
Poisson publiera encore de nombreuses notes et mémoires sur le mouvement des fluides et, en 1818, il fera la synthèse de ses recherches sur l’intégration des équations aux dérivées partielles et leur application à l’étude des fluides élastiques.
On trouve dans le même volume des Mémoires de l’Académie des Sciences, outre plusieurs rapports par Poisson, le « Mémoire sur la variation des constantes arbitraires, dans les questions de mécanique » qui porte le même titre que celui qu’il avait publié en 1809 et qui en développe la théorie et les applications à la mécanique céleste : variation des grands axes et mouvements des planètes. On y trouve les parenthèses de Lagrange et aussi les crochets de Poisson ." (Siméon-Denis Poisson. Les mathématiques au service de la science – Exposition bibliothèque MIR 2014. P. 15/16)

Ce volume des Mémoires de l'Académie Royale des Sciences contient :

POISSON :
- Mémoire sur la variation des constantes arbitraires dans les question de mécanique
- Mémoire sur la théorie des ondes.
GIRARD :
- Mémoire sur l'écoulement linéaire de diverses substances liquides par des tubes capillaires de verre,
- Mémoire sur l'écoulement de l'éther
BIOT, [Jean-Baptiste] :
- Mémoire sur l'utilité des lois de la polarisation de la lumière, pour reconnaitre l'état de cristallisation et de combinaison, dans grand nombre de cas où la système cristallin n'est pas immédiatement observable.

Ainsi que la partie portant sur l'histoire de l'académie par Delambre pour la partie mathématique et les notices sur Fleurieu, Charles Bossut, Lévêque et Tenon et par Cuvier pour la Physique.

Photo GALOIS, Évariste. 

Première édition des oeuvres complètes de Galois rassemblées par Liouville (p.381-444) dans ce volume du Journal de Mathématiques pures et appliquées.

Mathématicien génial, incompris à son époque et au destin tragique (il mourut à 20 ans dans un duel galant), Galois à créé la notion de groupe et ses travaux ont inspiré des générations de mathématiciens.
Étudiant brillant, il fut incompris de ses contemporains. Poisson rejeta les travaux qu'il voulait présenter à l'Académie des sciences de Paris.
En 1832, la veille du duel fatal, Galois rédigea son testament mathématique qu'il confia à un ami.
Ce n'est qu'en 1846 que Liouville les publiera dans ce volume du Journal des mathématiques et qu'en 1870 que Jordan en reconnaîtra l'importance.

"Lorsque, cédant au vœu des amis d'Evariste, je me suis livré, pour ainsi dire sous les yeux de son frère, à l'étude attentive de toutes les pièces imprimées ou manuscrites qu'il a laissées, j'ai donc cru devoir me proposer comme but unique de rechercher, de démêler, pour le faire ensuite ressortir de mon mieux, ce qu'il y a de neuf dans ces productions.
Mon zèle a bientôt été récompensé, et j'ai joui d'un vif plaisir au moment où, après avoir comblé de légères lacunes, j'ai reconnu l'exactitude entière de la méthode par laquelle Galois prouve, en particulier, ce beau théorème : 'Pour qu'une équation irréductible de degré premier soit soluble par radicaux, il faut et il suffit que toutes les racines soient des fonctions rationnelles de deux quelconques d'entre elles'.
Cette méthode, vraiment digne de l'attention des géomètres, suffirait seule pour assurer à notre compatriote un rang dans le petit nombre des savants qui ont mérité le titre d'inventeur." (Liouville p.382).

Photo [ECOLE POLYTECHNIQUE]. 

Recueil de texte en forme d'opera chanté, retraçant un siècle d'histoire de l'Ecole Polytechnique.
Spectacle qui fut sans doute donné lors de la soirée des Ombres pour le centenaire de Polytechnique.

« Comment décrire la grande salle, celle où va avoir lieu le spectacle, en attendant le bal ? Du plafond pendent, au milieu des lustres et des candélabres, treize couronnes de fleurs. Des guirlandes multicolores ornent les galeries. » Les milliers de spectateurs, parmi lesquels de nombreuses très jolies femmes, sont prêts à applaudir chaque tableau de l’Epopée.

Après l’ouverture de “Callirhoé”, on passe à l’exécution d’une cantate spécialement écrite par Armand SILVESTRE, le délicieux poète dont l’Ecole s’honore. « Puis soudain la salle s’obscurcit. Un immense cadre, ayant sept mètres de long sur sept mètres de large, est seul éclairé. Des compositions de messieurs CLARIS, GUERRIER, HELBRONNER, etc. mises sur verre et agencées par monsieur CARPENTIER, l’ingénieur modeste et si fécond dont le renom est universel, vont retracer une partie de l’histoire de l’Ecole, si longue qu’il a fallu l’abréger. La projection est faite avec une grosse lanterne électrique installée sur le baldaquin recouvrant la tribune officielle, qui est savamment manipulée par monsieur MOLTENI. Les dessins de monsieur Louis BOMBLED (1862-1927) sont surtout applaudis. » L’artiste et illustrateur a représenté au trait ou en couleur, parfois avec des transformations, de nombreux tableaux dont voici quelques exemples. ".

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